Dans la gestion de projets, il est des phases qui sont par essence collaboratives : l’analyse des besoins en tête de gondole, puis le partage des résultats. Reste à motiver les responsables métiers et partenaires à enrichir cette matière première. Et c’est là que la « machine » ralentit. Un peu, beaucoup…
Et pourtant les principes ne sont plus mis en cause. Ecoutons l'analyse d'Arnaud Tupinier d'Esprits Collaboratifs
Et pourtant les principes ne sont plus mis en cause. Ecoutons l'analyse d'Arnaud Tupinier d'Esprits Collaboratifs
Grand AXE 1. La première question c’est pourquoi passer d’une veille centralisée à une veille collaborative
Les besoins en veilles sont globaux à l’ensemble des métiers, qu’ils soient transverses ou non.
Le modèle traditionnel d’une cellule de 1 à 5 professionnels de l’information (pour les entreprises de grande taille les mieux pourvues !) qui centralise l’activité de veille arrive à ses limites.
La mutualisation est une réponse pertinente aux enjeux informationnels actuels. (éparpillement, silotage et redondance informationnels)
L’intelligence collective est sans doute le meilleur levier tant des performances individuelles que des performances et de la compétitivité de l’entreprise. Elle ne se limite aux pratiques de veille mais plus généralement à l’expérience collaborateur de gestion de l’information et concerne donc également le Knowledge management, la gestion des connaissances et compétences, les espaces de partage de l’entreprise (réseau social, intranet…) et les outils qui adressent des verticales métiers (CRM, plateformes de social media listening, CMS, etc.)
Cela étant dit, on s’aperçoit bien que le développement d’une dynamique de veille décentralisée et collaborative constitue un véritable projet de transformation qui s’inscrit dans la transformation digitale des organisations.
Le modèle traditionnel d’une cellule de 1 à 5 professionnels de l’information (pour les entreprises de grande taille les mieux pourvues !) qui centralise l’activité de veille arrive à ses limites.
La mutualisation est une réponse pertinente aux enjeux informationnels actuels. (éparpillement, silotage et redondance informationnels)
L’intelligence collective est sans doute le meilleur levier tant des performances individuelles que des performances et de la compétitivité de l’entreprise. Elle ne se limite aux pratiques de veille mais plus généralement à l’expérience collaborateur de gestion de l’information et concerne donc également le Knowledge management, la gestion des connaissances et compétences, les espaces de partage de l’entreprise (réseau social, intranet…) et les outils qui adressent des verticales métiers (CRM, plateformes de social media listening, CMS, etc.)
Cela étant dit, on s’aperçoit bien que le développement d’une dynamique de veille décentralisée et collaborative constitue un véritable projet de transformation qui s’inscrit dans la transformation digitale des organisations.
Grand AXE 2. Comment passer d’une dynamique de veille centralisée à une dynamique distribuée et collaborative
Phase 1 : Audit des pratiques et besoins informationnels (ou des absences de pratiques) dans l’entreprise
Phase 2 : Définition du projet (qui soit porteur de sens, réponde à des objectifs collectivement définis et partagés, qui s’adapte à la culture et à l’écosystème numérique de l’entreprise, …)
Phase 3 : Définir une gouvernance de projet : sponsoring, appui politique, modèle économique, quelle direction, quelle équipe, quel effectif porte et accompagne opérationnellement le projet, quel agenda, quels KPIs, ROIs et RONIs… quel outil et quelle offre de service pour soutenir le projet ?
Focus offre de service : développement des littéracies/bonnes pratiques informationnelles qui sont désormais des softs skills, onboarding platefrome de veille, expression de besoins, accompagnement des premiers usages, identification des besoins convergents ou en recouvrement, soutient à l’émergence de communautés de veille, animation, valorisation, mise en visibilité, etc.
Focus outil : quels outils, quelle expérience collaborateur de gestion de l’information cible, quels sont les « must have » d’une plateforme de veille réellement collaborative ?
Focus modèle économique : centralisé en mode projet de transformation ou plutôt distribué avec une mécanique de refacturation en interne ?
Réponses et pistes d'avancement lors de la conférence et de l'atelier animés par @Arnaud Tupinier
Phase 2 : Définition du projet (qui soit porteur de sens, réponde à des objectifs collectivement définis et partagés, qui s’adapte à la culture et à l’écosystème numérique de l’entreprise, …)
Phase 3 : Définir une gouvernance de projet : sponsoring, appui politique, modèle économique, quelle direction, quelle équipe, quel effectif porte et accompagne opérationnellement le projet, quel agenda, quels KPIs, ROIs et RONIs… quel outil et quelle offre de service pour soutenir le projet ?
Focus offre de service : développement des littéracies/bonnes pratiques informationnelles qui sont désormais des softs skills, onboarding platefrome de veille, expression de besoins, accompagnement des premiers usages, identification des besoins convergents ou en recouvrement, soutient à l’émergence de communautés de veille, animation, valorisation, mise en visibilité, etc.
Focus outil : quels outils, quelle expérience collaborateur de gestion de l’information cible, quels sont les « must have » d’une plateforme de veille réellement collaborative ?
Focus modèle économique : centralisé en mode projet de transformation ou plutôt distribué avec une mécanique de refacturation en interne ?
Réponses et pistes d'avancement lors de la conférence et de l'atelier animés par @Arnaud Tupinier