Responsables Métiers, Directeurs Opérationnels, Knowledge Managers : aujourd’hui votre priorité est de vous adapter au mieux aux différents univers complexes et peu structurés dans lesquels vous évoluez pour pérenniser et développer la valeur ajoutée de vos équipes.
Pour relever ce défi, le Knowledge Management dispose de deux atouts maîtres : le savoir-faire à organiser nos mémoires, la capacité de faire émerger des axes de développement.
Le point de départ s’élabore à partir d’un état des lieux : « Qui sait quoi » ? Le diagnostic pour être partagé repose sur la visibilité, souvent représentée sous forme cartographique. L’ingénierie de la connaissance aide ainsi à dessiner le périmètre que constitue le « quoi » du métier. Ensuite on pose sur cette représentation, le calque du « qui est le sachant » qui saura expliciter et justifier ce « quoi ».
Les théories sont nombreuses mais seule la pratique joue les arbitres.
Ceci posé : où voulons-nous aller ensemble, avec quelles contraintes et quels moyens ?
Ici commencent à se dessiner des pistes de développement viables, accessibles, durables.
De cette combinaison minutieuse qui s’ancre
- sur un langage formalisé,
- sur des éléments de confiance validés,
- sur des valeurs de gouvernance partagées,
- sur des talents, des compétences identifiées et reconnues,
- sur des objectifs auxquels tous ont adhéré,
- sur des visions et des expériences complémentaires respectées,
s’élabore, étape par étape, dans le respect des autres, des normes, de l’art et de la confidentialité, l’objectif majeur : la co-construction de cette mémoire, terreau de la pérennisation du métier à transmettre, et pour, in fine, explorer le graal de l’Innovation.
Parce que ces préconisations sont longuement et patiemment qualifiées, elles vont être comprises, écoutées, acceptées pour être enfin adoptées.
La preuve est faite avec les travaux menés par Ardans.
Témoignage Client et Démonstration Solution.
Le point de départ s’élabore à partir d’un état des lieux : « Qui sait quoi » ? Le diagnostic pour être partagé repose sur la visibilité, souvent représentée sous forme cartographique. L’ingénierie de la connaissance aide ainsi à dessiner le périmètre que constitue le « quoi » du métier. Ensuite on pose sur cette représentation, le calque du « qui est le sachant » qui saura expliciter et justifier ce « quoi ».
Les théories sont nombreuses mais seule la pratique joue les arbitres.
Ceci posé : où voulons-nous aller ensemble, avec quelles contraintes et quels moyens ?
Ici commencent à se dessiner des pistes de développement viables, accessibles, durables.
De cette combinaison minutieuse qui s’ancre
- sur un langage formalisé,
- sur des éléments de confiance validés,
- sur des valeurs de gouvernance partagées,
- sur des talents, des compétences identifiées et reconnues,
- sur des objectifs auxquels tous ont adhéré,
- sur des visions et des expériences complémentaires respectées,
s’élabore, étape par étape, dans le respect des autres, des normes, de l’art et de la confidentialité, l’objectif majeur : la co-construction de cette mémoire, terreau de la pérennisation du métier à transmettre, et pour, in fine, explorer le graal de l’Innovation.
Parce que ces préconisations sont longuement et patiemment qualifiées, elles vont être comprises, écoutées, acceptées pour être enfin adoptées.
La preuve est faite avec les travaux menés par Ardans.
Témoignage Client et Démonstration Solution.
Parce ces préconisations sont longuement et patiemment qualifiées, elles vont être comprises, écoutées, acceptées et enfin adoptées par les utilisateurs et acteurs réels de ces innovations.
La preuve est faite avec les travaux longuement et patiemment menés par Ardans. Témoignage et Démonstration.
La preuve est faite avec les travaux longuement et patiemment menés par Ardans. Témoignage et Démonstration.