Cette année a été marquée par la consolidation de l’avènement de « l’intelligence augmentée » et des prémices d’une doctrine d’emploi et d’application.
Nous avons pu distinguer cette tendance à travers deux réalités avérées:
Aussi, après des années de débats, nous entrons dans une ère de construction opérationnelle
de cette « intelligence augmentée » hybridant
Les humains et les machines vont pouvoir ainsi, à une échelle inédite à ce jour, combiner leurs capacités d’intelligence, notamment prédictive, repérer les signaux atypiques, très faibles, les anomalies et les détails cachés, déjouer les biais cognitifs, piloter dans la complexité…
- celle de la technologie et de l’intelligence artificielle
- et celle de l’intelligence collective et sociétale.
Aussi, après des années de débats, nous entrons dans une ère de construction opérationnelle
de cette « intelligence augmentée » hybridant
- les avancées technologiques considérables de l’IA,
- les capacités inédites qu’elle offre de traitement de données en masse et de calcul
et l’intelligence humaine et collective.
Les humains et les machines vont pouvoir ainsi, à une échelle inédite à ce jour, combiner leurs capacités d’intelligence, notamment prédictive, repérer les signaux atypiques, très faibles, les anomalies et les détails cachés, déjouer les biais cognitifs, piloter dans la complexité…
- Ce rééquilibrage entre intelligence technologique et intelligence humaine repose en particulier sur la capacité de notre société à réguler l’utilisation de l’IA (éthique, biais, démocratie...). C’est ici que l’intelligence collective et sociétale, autre caractéristique de « l’intelligence augmentée » est appelée à jouer un rôle déterminant.