Pour des approches de valorisation et de gouvernance des données
La tendance qui marque le plus cette année 2020, c’est la prise de conscience par les organisations que leur système d’information ne leur sert pas seulement à automatiser des process (l’approche système) mais qu’il permet également de distribuer la donnée (l’approche information).
Quand les collaborateurs ne peuvent plus se rendre physiquement à leur bureau, le plus compliqué n’est pas d’établir un lien avec le coeur de l’entreprise mais de les aider à trouver, utiliser et valoriser les données métiers.
Pendant des années, le système d’information s’est résumé à une infrastructure qu’il fallait maintenir en condition opérationnelle pour bénéficier des retours sur investissement promis par l’automatisation des process.
L’année 2020 et le recours massif au télétravail a montré que cette infrastructure a également pour finalité d’assurer la coopération entre les acteurs de l’entreprise. Derrière les process, la communication et la capacité donnée aux hommes et aux femmes de protéger et enrichir les données constitue la véritable raison d’être de l’entreprise.
En contraignant les organisations à expérimenter de nouvelles pratiques pour faire face à la pandémie, de nouveaux horizons se sont ouverts pour révéler tout le potentiel de la pensée centrée « donnée ». Pour le meilleur, en obligeant les acteurs clés à exprimer leur besoin en terme d’accès à la donnée ou en expérimentant de nouvelles façon d’interagir avec leurs interlocuteurs habituels, et aussi pour le pire en découvrant combien l’imprévu d’une telle situation fait surgir de nouveaux scénarios dont les menaces potentielles sont bien difficiles à circonscrire dynamiquement...
En étant obligé de s’intéresser aux échanges effectifs entre les acteurs qui la composent, l'entreprise a découvert que la donnée qu’elle détient constitue un potentiel de génération de valeur. Espérons que cette expérimentation nouvelle l’invite à dépasser les approches règlementaires de protection des données personnelles pour lui faire explorer les approches vertueuses de valorisation et de gouvernance de toutes les autres familles de données.
Quand les collaborateurs ne peuvent plus se rendre physiquement à leur bureau, le plus compliqué n’est pas d’établir un lien avec le coeur de l’entreprise mais de les aider à trouver, utiliser et valoriser les données métiers.
Pendant des années, le système d’information s’est résumé à une infrastructure qu’il fallait maintenir en condition opérationnelle pour bénéficier des retours sur investissement promis par l’automatisation des process.
L’année 2020 et le recours massif au télétravail a montré que cette infrastructure a également pour finalité d’assurer la coopération entre les acteurs de l’entreprise. Derrière les process, la communication et la capacité donnée aux hommes et aux femmes de protéger et enrichir les données constitue la véritable raison d’être de l’entreprise.
En contraignant les organisations à expérimenter de nouvelles pratiques pour faire face à la pandémie, de nouveaux horizons se sont ouverts pour révéler tout le potentiel de la pensée centrée « donnée ». Pour le meilleur, en obligeant les acteurs clés à exprimer leur besoin en terme d’accès à la donnée ou en expérimentant de nouvelles façon d’interagir avec leurs interlocuteurs habituels, et aussi pour le pire en découvrant combien l’imprévu d’une telle situation fait surgir de nouveaux scénarios dont les menaces potentielles sont bien difficiles à circonscrire dynamiquement...
En étant obligé de s’intéresser aux échanges effectifs entre les acteurs qui la composent, l'entreprise a découvert que la donnée qu’elle détient constitue un potentiel de génération de valeur. Espérons que cette expérimentation nouvelle l’invite à dépasser les approches règlementaires de protection des données personnelles pour lui faire explorer les approches vertueuses de valorisation et de gouvernance de toutes les autres familles de données.